L’ardeur toute relative de la pêche à la mouche
La dextérité de ta langue bien pendue et de ta bouche
Les étincelles fugaces qui se créent lorsque l’on se touche
Dans les froissements de la soie au sein de notre couche
Quand tu retires aussi silencieusement que délicatement ta houche
Le ravissement du soir quand la Lune ravie à la fenêtre louche
Le feu à la hanche, l’impétuosité au réveil avant la douche
Ambiance feutrée, preuse héroïne ton indifférence est à la souche
De mon grand défaillement, et causera ma perte. _ « Wouche ! »
Autour de la masure, dans les recoins les plus secrets des ouches
Ta nudité et ta beauté sont tributaires du fermoir de ta nouche
Et mon amour pour toi jeté par kilos entiers dans un pouche
Enfoui dans les eaux sombres bien profondément, par-delà les rouches…
XK (16-03-18)
Comments